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elizabete oliveira
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estou muito feliz por fazer parte ,que DEUS possa abençõa cada um de vcs ai e que possa mandar os livros que fiz pedido,pois quero ser uma grande evangelizadora pra DEUS,muito obrigado e fiquem com DEUS. 
Jeudi 3 juin 2010
Le président de la conférence épiscopale de Turquie a été assassiné
Mgr Luigi Padovese, vicaire apostolique d’Anatolie (Turqui) et président de la conférence épiscopale turque, a été poignardé puis égorgé jeudi 3 juin à son domicile par son chauffeur. Mgr Padovese, 63 ans, officiait depuis 2004 à Iskenderun, non loin d'Antakya, l'ancienne Antioche où se trouve la grotte …Więcej
Jeudi 3 juin 2010
Le président de la conférence épiscopale de Turquie a été assassiné
Mgr Luigi Padovese, vicaire apostolique d’Anatolie (Turqui) et président de la conférence épiscopale turque, a été poignardé puis égorgé jeudi 3 juin à son domicile par son chauffeur. Mgr Padovese, 63 ans, officiait depuis 2004 à Iskenderun, non loin d'Antakya, l'ancienne Antioche où se trouve la grotte qui fut un lieu de réunion secret des premiers chrétiens.
Son chauffeur, Murat Altun, 26 ans, a été inculpé vendredi. Il travaillait pour Mgr Padovese depuis plus de quatre ans, et a été arrêté peu après son geste avec l’arme du crime et a affirmé à la police avoir agi après avoir reçu une « révélation » divine.
Selon AsiaNews, agence de l'institut pontifical des missions étrangères, Mgr Padovese «a été poignardé dans sa maison (à Iskenderun), est parvenu à sortir de son domicile pour demander de l'aide». Une fois au sol, il aurait alors été décapité par le chauffeur, qui est ensuite monté sur le toit. Là il aurait crié «J'ai tué le grand Satan, Allah Akbar» («Dieu est grand», en arabe) depuis le toit de la maison du prélat.
Selon la presse turque, le meurtrier avait quitté quelques jours auparavant les services psychiatriques d'un hôpital et aurait déclaré à la police avoir eu une «révélation divine». Les autorités locales s'étaient empressées d'exclure un acte politique. L'avocat et la mère du meurtrier ont confirmé que le chauffeur, qui était au service de l'évêque depuis quatre ans, souffrait de problèmes psychologiques.
Dans l'avion qui l'emmenait à Chypre vendredi, le pape Benoît XVI lui-même avait affirmé que ce n'était «pas un assassinat politique ou religieux», tout en reconnaissant disposer de peu d'informations.
Cependant, des catholiques ne manquent pas de rappeler que Mgr Padovese était attendu à Nicosie par le pape au cours de son déplacement à Chypre, pour y recevoir le document de travail du synode pour le Moyen Orient :Instrumentum Laboris, déplacement au cours duquel le pape devait notamment évoquer le sort tragique des chrétiens d’Orient.
Le pape a ainsi déploré « les conflits et le sang qui coule » au Moyen-Orient, en regrettant la destruction par les Turcs de nombreux édifices chrétiens dans l’île de Chypre.
Pour autant, le devoir d'apaisement pousse les observateurs à ne pas y voir de rapport, de crainte d'impliquer la Turquie dans cet acte individuel.
Le pape a rappelé l'engagement de Mgr Padovese pour le dialogue interreligieux et pour l'œcuménisme :
« Je confie son âme à la miséricorde du Dieu tout puissant, conscient à quel point il était engagé, spécialement en tant qu'évêque, pour la compréhension interreligieuse et interculturelle, et pour le dialogue entre les Eglises ».
« Sa mort, a insisté le pape, nous rappelle « la vocation de tous les chrétiens à témoigner courageusement en toute circonstance, de ce qui est bon, noble et juste ».
Une messe a été célébrée samedi dans l’église d’Iskenderun à la mémoire de Mgr Padovese.
Il est tout de même piquant de constater le nombre important de "déséquilibrés" fanatiques qui se promènent en Turquie avec un couteau au poing. A chaque fois qu'un chrétien est assassiné, c'est toujours l'oeuvre d'un déséquilibré. Et Dieu sait s'ils sont souvent assassinés! Et toujours pour des motifs religieux !
www.indignations.org
Le président de la conférence épiscopale de Turquie a été assassiné
Mgr Luigi Padovese, vicaire apostolique d’Anatolie (Turqui) et président de la conférence épiscopale turque, a été poignardé puis égorgé jeudi 3 juin à son domicile par son chauffeur. Mgr Padovese, 63 ans, officiait depuis 2004 à Iskenderun, non loin d'Antakya, l'ancienne Antioche où se trouve la grotte qui fut un lieu de réunion secret des premiers chrétiens.
Son chauffeur, Murat Altun, 26 ans, a été inculpé vendredi. Il travaillait pour Mgr Padovese depuis plus de quatre ans, et a été arrêté peu après son geste avec l’arme du crime et a affirmé à la police avoir agi après avoir reçu une « révélation » divine.
Selon AsiaNews, agence de l'institut pontifical des missions étrangères, Mgr Padovese «a été poignardé dans sa maison (à Iskenderun), est parvenu à sortir de son domicile pour demander de l'aide». Une fois au sol, il aurait alors été décapité par le chauffeur, qui est ensuite monté sur le toit. Là il aurait crié «J'ai tué le grand Satan, Allah Akbar» («Dieu est grand», en arabe) depuis le toit de la maison du prélat.
Selon la presse turque, le meurtrier avait quitté quelques jours auparavant les services psychiatriques d'un hôpital et aurait déclaré à la police avoir eu une «révélation divine». Les autorités locales s'étaient empressées d'exclure un acte politique. L'avocat et la mère du meurtrier ont confirmé que le chauffeur, qui était au service de l'évêque depuis quatre ans, souffrait de problèmes psychologiques.
Dans l'avion qui l'emmenait à Chypre vendredi, le pape Benoît XVI lui-même avait affirmé que ce n'était «pas un assassinat politique ou religieux», tout en reconnaissant disposer de peu d'informations.
Cependant, des catholiques ne manquent pas de rappeler que Mgr Padovese était attendu à Nicosie par le pape au cours de son déplacement à Chypre, pour y recevoir le document de travail du synode pour le Moyen Orient :Instrumentum Laboris, déplacement au cours duquel le pape devait notamment évoquer le sort tragique des chrétiens d’Orient.
Le pape a ainsi déploré « les conflits et le sang qui coule » au Moyen-Orient, en regrettant la destruction par les Turcs de nombreux édifices chrétiens dans l’île de Chypre.
Pour autant, le devoir d'apaisement pousse les observateurs à ne pas y voir de rapport, de crainte d'impliquer la Turquie dans cet acte individuel.
Le pape a rappelé l'engagement de Mgr Padovese pour le dialogue interreligieux et pour l'œcuménisme :
« Je confie son âme à la miséricorde du Dieu tout puissant, conscient à quel point il était engagé, spécialement en tant qu'évêque, pour la compréhension interreligieuse et interculturelle, et pour le dialogue entre les Eglises ».
« Sa mort, a insisté le pape, nous rappelle « la vocation de tous les chrétiens à témoigner courageusement en toute circonstance, de ce qui est bon, noble et juste ».
Une messe a été célébrée samedi dans l’église d’Iskenderun à la mémoire de Mgr Padovese.
Il est tout de même piquant de constater le nombre important de "déséquilibrés" fanatiques qui se promènent en Turquie avec un couteau au poing. A chaque fois qu'un chrétien est assassiné, c'est toujours l'oeuvre d'un déséquilibré. Et Dieu sait s'ils sont souvent assassinés! Et toujours pour des motifs religieux !
www.indignations.org
El País, jueves, 09 de junio de 2010
El asesino del obispo Padovese no actuó solo
La policía turca apunta al móvil religioso en la muerte del prelado
Miguel Mora
Roma — Las versiones oficiales empiezan a sonar a un compromiso cosido con los alfileres de la prudencia y la alta política. La policía turca, la comunidad cristiana de Anatolia y la autopsia realizada al cadáver del obispo Luigi Padovese …Więcej
El País, jueves, 09 de junio de 2010
El asesino del obispo Padovese no actuó solo
La policía turca apunta al móvil religioso en la muerte del prelado
Miguel Mora
Roma — Las versiones oficiales empiezan a sonar a un compromiso cosido con los alfileres de la prudencia y la alta política. La policía turca, la comunidad cristiana de Anatolia y la autopsia realizada al cadáver del obispo Luigi Padovese coinciden en que el asesinato el pasado jueves del prelado milanés, de 63 años, fue por razones religiosas o políticas y no, como se ha dicho hasta ahora, por obra de un enajenado mental.
Según la autopsia realizada en Iskenderun, el cuerpo del obispo capuchino, gran defensor del diálogo con el islam, recibió 20 cuchilladas, ocho de ellas cerca del corazón. Se sabe que Altun atacó al prelado dentro de la casa y que este logró salir al jardín pidiendo auxilio; allí, su agresor le decapitó. Luego, Altun subió al tejado de la vivienda y, según los testigos, gritó: “He matado al gran Satanás. Alá es grande”.
Un asesinato ritual, según la agencia católica Asia News, que lleva la marca de los fundamentalistas islámicos supuestamente manipulados por el llamado Estado profundo, una red golpista infiltrada en los servicios de seguridad del Estado que persigue derribar al Gobierno del primer ministro, Recep Tayyip Erdogan.
El vaticanista Filippo di Giacomo, que recoge impresiones de diplomáticos, amigos y colaboradores de Padovese, insiste en que este, al ser informado del peligro que representaba Altun, “prefirió arriesgar su inmolación personal para evitar una tragedia mayor, es decir, un atentado contra el Papa”.
Di Giacomo explica así las reticencias vaticanas: “Es comprensible que la máquina de suavizar busque continuar el diálogo con Turquía. Y no sería la primera vez que el interés de uno se sacrifica por el interés de muchos”.
El asesino del obispo Padovese no actuó solo
La policía turca apunta al móvil religioso en la muerte del prelado
Miguel Mora
Roma — Las versiones oficiales empiezan a sonar a un compromiso cosido con los alfileres de la prudencia y la alta política. La policía turca, la comunidad cristiana de Anatolia y la autopsia realizada al cadáver del obispo Luigi Padovese coinciden en que el asesinato el pasado jueves del prelado milanés, de 63 años, fue por razones religiosas o políticas y no, como se ha dicho hasta ahora, por obra de un enajenado mental.
Según la autopsia realizada en Iskenderun, el cuerpo del obispo capuchino, gran defensor del diálogo con el islam, recibió 20 cuchilladas, ocho de ellas cerca del corazón. Se sabe que Altun atacó al prelado dentro de la casa y que este logró salir al jardín pidiendo auxilio; allí, su agresor le decapitó. Luego, Altun subió al tejado de la vivienda y, según los testigos, gritó: “He matado al gran Satanás. Alá es grande”.
Un asesinato ritual, según la agencia católica Asia News, que lleva la marca de los fundamentalistas islámicos supuestamente manipulados por el llamado Estado profundo, una red golpista infiltrada en los servicios de seguridad del Estado que persigue derribar al Gobierno del primer ministro, Recep Tayyip Erdogan.
El vaticanista Filippo di Giacomo, que recoge impresiones de diplomáticos, amigos y colaboradores de Padovese, insiste en que este, al ser informado del peligro que representaba Altun, “prefirió arriesgar su inmolación personal para evitar una tragedia mayor, es decir, un atentado contra el Papa”.
Di Giacomo explica así las reticencias vaticanas: “Es comprensible que la máquina de suavizar busque continuar el diálogo con Turquía. Y no sería la primera vez que el interés de uno se sacrifica por el interés de muchos”.
Jeszcze jeden komentarz od Rodrigo†
AsiaNews, lunedì, 7 giugno, 2010
Oggi i funerali di mons. Padovese
L’assassino: ‘Ho ammazzato il grande satana!’
di Geries Othman
Iskenderun — Oggi alle 16 vi saranno i funerali di mons. Padovese, ucciso dal suo autista, Murat Altun, stranamente “impazzito” lo scorso 3 giugno.
Mentre i giorni passano, si aggiungono nuovi particolari alla vicenda dell’assassinio e alla presunta “insanità” …Więcej
AsiaNews, lunedì, 7 giugno, 2010
Oggi i funerali di mons. Padovese
L’assassino: ‘Ho ammazzato il grande satana!’
di Geries Othman
Iskenderun — Oggi alle 16 vi saranno i funerali di mons. Padovese, ucciso dal suo autista, Murat Altun, stranamente “impazzito” lo scorso 3 giugno.
Mentre i giorni passano, si aggiungono nuovi particolari alla vicenda dell’assassinio e alla presunta “insanità” dell’uccisore.
I medici che hanno effettuato l’autopsia hanno rilevato che mons. Padovese presentava coltellate in tutto il corpo, ma soprattutto dalla parte del cuore (almeno 8). Anche la dinamica dell’uccisione è più chiara: il vescovo è stato accoltellato in casa. Egli è riuscito ad avere la forza di andare fuori, sulla soglia della casa, sanguinante e gridando aiuto e là avrebbe trovato la morte. Forse solo quando egli è caduto a terra, qualcuno gli ha tagliato la testa.
Testimoni affermano di aver sentito il vescovo gridare aiuto. Ma ancora più importante, è che essi hanno sentito le urla di Murat subito dopo l’assassinio. Secondo queste fonti, egli è salito sul tetto della casa è ha gridato: “Ho ammazzato il grande satana! Allah Akbar!”.
Questo grido coincide perfettamente con l’idea della decapitazione, facendo intuire che essa è come un sacrificio rituale contro il male. Ciò mette in relazione l’assassinio con i gruppi ultranazionalisti e apparentemente fondamentalisti islamici che vogliono eliminare i cristiani dalla Turchia.
Del resto, secondo un giornale turco, il Milliyet del 4 giugno, l’assassino avrebbe detto alla polizia di aver compiuto il gesto “per rivelazione divina”.
Davanti a questi nuovi e agghiaccianti particolari sono forse da rivedere le dichiarazioni del governo turco e le prime convinzioni espresse dal Vaticano, secondo cui l’uccisione non avrebbe risvolti politici e religiosi. Fermo restando che, come ha detto Benedetto XVI nell’aereo in viaggio per Cipro, questo assassinio “non può essere attribuito alla Turchia e ai turchi, e non deve oscurare il dialogo”.
Oggi i funerali di mons. Padovese
L’assassino: ‘Ho ammazzato il grande satana!’
di Geries Othman
Iskenderun — Oggi alle 16 vi saranno i funerali di mons. Padovese, ucciso dal suo autista, Murat Altun, stranamente “impazzito” lo scorso 3 giugno.
Mentre i giorni passano, si aggiungono nuovi particolari alla vicenda dell’assassinio e alla presunta “insanità” dell’uccisore.
I medici che hanno effettuato l’autopsia hanno rilevato che mons. Padovese presentava coltellate in tutto il corpo, ma soprattutto dalla parte del cuore (almeno 8). Anche la dinamica dell’uccisione è più chiara: il vescovo è stato accoltellato in casa. Egli è riuscito ad avere la forza di andare fuori, sulla soglia della casa, sanguinante e gridando aiuto e là avrebbe trovato la morte. Forse solo quando egli è caduto a terra, qualcuno gli ha tagliato la testa.
Testimoni affermano di aver sentito il vescovo gridare aiuto. Ma ancora più importante, è che essi hanno sentito le urla di Murat subito dopo l’assassinio. Secondo queste fonti, egli è salito sul tetto della casa è ha gridato: “Ho ammazzato il grande satana! Allah Akbar!”.
Questo grido coincide perfettamente con l’idea della decapitazione, facendo intuire che essa è come un sacrificio rituale contro il male. Ciò mette in relazione l’assassinio con i gruppi ultranazionalisti e apparentemente fondamentalisti islamici che vogliono eliminare i cristiani dalla Turchia.
Del resto, secondo un giornale turco, il Milliyet del 4 giugno, l’assassino avrebbe detto alla polizia di aver compiuto il gesto “per rivelazione divina”.
Davanti a questi nuovi e agghiaccianti particolari sono forse da rivedere le dichiarazioni del governo turco e le prime convinzioni espresse dal Vaticano, secondo cui l’uccisione non avrebbe risvolti politici e religiosi. Fermo restando che, come ha detto Benedetto XVI nell’aereo in viaggio per Cipro, questo assassinio “non può essere attribuito alla Turchia e ai turchi, e non deve oscurare il dialogo”.
Luigi Padovese, President of Turkish bishops murdered
romereports.com: 19:23 03-06-2010 (4 minutes ago)
Luigi Padovese, President of Turkish bishops murdered
June 3, 2010. The apostolic vicar in Anatolia was stabbed to death in his house in the city of Iskenderun in Turkey. This was not an anti-Christian hate crime. Authorities have detained the bishop’s murderer. It was his personal driver of more …Więcej
Luigi Padovese, President of Turkish bishops murdered
romereports.com: 19:23 03-06-2010 (4 minutes ago)
Luigi Padovese, President of Turkish bishops murdered
June 3, 2010. The apostolic vicar in Anatolia was stabbed to death in his house in the city of Iskenderun in Turkey. This was not an anti-Christian hate crime. Authorities have detained the bishop’s murderer. It was his personal driver of more than four years. According to authorities, he is mentally unstable, with serious psychological problems.
romereports.com: 19:23 03-06-2010 (4 minutes ago)
Luigi Padovese, President of Turkish bishops murdered
June 3, 2010. The apostolic vicar in Anatolia was stabbed to death in his house in the city of Iskenderun in Turkey. This was not an anti-Christian hate crime. Authorities have detained the bishop’s murderer. It was his personal driver of more than four years. According to authorities, he is mentally unstable, with serious psychological problems.
Asesinato del presidente del episcopado Turco: consternación en la Santa Sede
cope.es: 16:01 03-06-2010 (hace 3 horas)
Asesinato del presidente del episcopado Turco: consternación en la Santa Sede
Un «suceso horrible», «dolorosísimo»: primera reacción del director de la Oficina de Información de la Santa Sede –el padre Federico Lombardi- al conocerse el asesinato de monseñor Luidi Padovese -…Więcej
Asesinato del presidente del episcopado Turco: consternación en la Santa Sede
cope.es: 16:01 03-06-2010 (hace 3 horas)
Asesinato del presidente del episcopado Turco: consternación en la Santa Sede
Un «suceso horrible», «dolorosísimo»: primera reacción del director de la Oficina de Información de la Santa Sede –el padre Federico Lombardi- al conocerse el asesinato de monseñor Luidi Padovese -vicario apostólico de Anatolia y presidente de la Conferencia episcopal turca- perpetrado hoy, en Iskenderum, en Turquía. Del obispo de Esmirna, monseñor Ruggero Franceschini, llega confirmación de esta tragedia a la emisora pontificia.
cope.es: 16:01 03-06-2010 (hace 3 horas)
Asesinato del presidente del episcopado Turco: consternación en la Santa Sede
Un «suceso horrible», «dolorosísimo»: primera reacción del director de la Oficina de Información de la Santa Sede –el padre Federico Lombardi- al conocerse el asesinato de monseñor Luidi Padovese -vicario apostólico de Anatolia y presidente de la Conferencia episcopal turca- perpetrado hoy, en Iskenderum, en Turquía. Del obispo de Esmirna, monseñor Ruggero Franceschini, llega confirmación de esta tragedia a la emisora pontificia.