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RP Paul-Marie - La modestie chrétienne - 11 février 2024 Sermon donné à l’occasion de l’exposition du Saint-Sacrement pour l’adoration réparatrice des Quarante Heures. Vestimentum tuum candidum …Plus
RP Paul-Marie - La modestie chrétienne - 11 février 2024
Sermon donné à l’occasion de l’exposition du Saint-Sacrement pour l’adoration réparatrice des Quarante Heures.
Vestimentum tuum candidum quasi nix et facies tua sicut sol.
Votre vêtement est blanc comme la neige et votre visage est resplendissant comme le soleil.
Hélène33
Excellent sermon. « Avec un demi-christianisme, on ne sauvera RIEN », Cardinal Pie.
La vraie charité chrétienne demeure dans la vérité, c'est pourquoi on lit dans le catéchisme que la correction fraternelle est une oeuvre de miséricorde spirituelle. MAVRI Catherine VRIGNAUD, en réponse à votre commentaire sur une autre publication, je vous conseille d'écouter ce sermon.
Rappel sur les règles …Plus
Excellent sermon. « Avec un demi-christianisme, on ne sauvera RIEN », Cardinal Pie.

La vraie charité chrétienne demeure dans la vérité, c'est pourquoi on lit dans le catéchisme que la correction fraternelle est une oeuvre de miséricorde spirituelle. MAVRI Catherine VRIGNAUD, en réponse à votre commentaire sur une autre publication, je vous conseille d'écouter ce sermon.

Rappel sur les règles de la modestie chrétienne prescrites par l'Église catholique :
À une époque funeste où la sainte vertu de modesti…
MAVRI Catherine VRIGNAUD
Je ne connais pas l'auteur, je l'ai lu, mais votre religion se mesure à des dimensions d'habits... c'est triste d'en être là... cela ressemble au sectarisme... aime Dieu et fais ce que tu veux. Le Bon Dieu nous créeé libre, et nous laisse libre de notre chemin à prendre pour arriver au ciel. Laissez nous cette liberté, et pour vous restez dans vos dimensions. Malgré tout je suis d'accord qu'il …Plus
Je ne connais pas l'auteur, je l'ai lu, mais votre religion se mesure à des dimensions d'habits... c'est triste d'en être là... cela ressemble au sectarisme... aime Dieu et fais ce que tu veux. Le Bon Dieu nous créeé libre, et nous laisse libre de notre chemin à prendre pour arriver au ciel. Laissez nous cette liberté, et pour vous restez dans vos dimensions. Malgré tout je suis d'accord qu'il faut être vigilante et ne pas s'habiller n'importe comment, ne pas "aguicher" les garçons, mais tout de même, de là à calculer la longueur... il y a une marge...
Hélène33
J'ai mis le lien où vous pouvez voir la source, ce sont les directives du Saint-Siège. Vous interprétez à tort la citation de Saint Augustin : aime Dieu... Saint Alphonse-Marie de Liguori commentant cette citation affirme que celui qui aime Dieu ne peut que faire le bien, c'est-à-dire observer les commandements de Dieu. Et lorsqu'il commencera à faire le mal, c'est une preuve qu'il cesse d'aimer …Plus
J'ai mis le lien où vous pouvez voir la source, ce sont les directives du Saint-Siège. Vous interprétez à tort la citation de Saint Augustin : aime Dieu... Saint Alphonse-Marie de Liguori commentant cette citation affirme que celui qui aime Dieu ne peut que faire le bien, c'est-à-dire observer les commandements de Dieu. Et lorsqu'il commencera à faire le mal, c'est une preuve qu'il cesse d'aimer Dieu. Donc, le fais ce que tu veux, ne doit pas être pris dans le sens de la fausse liberté qui va à l'encontre de la Volonté de Dieu pour nous.
Ce n'est pas vrai, la religion ne consiste pas seulement dans les habits, mais ils font partis d'un tout et on ne peut pas les mettre de côté. Si l'on est chrétien, il faut obéir à tout ce que Dieu commande par son Église. Et l'habit à cela d'important qu'il est constamment vu des autres, donc s'il n'est pas conforme à ce que l'Église enseigne, il est constamment une source de scandale pour nos frères. Ce que ne font pas certains autres vices de l'âme qui, quoiqu'ils sont à réprouver, ne sont pas nécessairement une pierre d'achoppement pour le prochain.

« Rien n'est plus juste : car ceux qui ne prennent de la doctrine chrétienne que ce qu'ils veulent, s'appuient sur leur propre jugement et non sur la foi ; et, refusant de « réduire en servitude toute intelligence sous l'obéissance du Christ » (II Corinth., X, 5), ils obéissent en réalité à eux-mêmes plutôt qu'à Dieu. " Vous qui dans l'Evangile croyez ce qui vous plaît et refusez de croire ce qui vous déplaît, vous croyez à vous-mêmes, beaucoup plus qu'à l'Évangile " ("S. Augustinus, lib. XVII, Contra Faustum Manichæum, cap. 3"). Les Pères du Concile du Vatican n'ont donc rien édicté de nouveau, mais ils n'ont fait que se conformer à l'institution divine, à l'antique et constante doctrine de l'Église et à la nature même de la foi, quand ils ont formulé ce décret : "On doit croire, de foi divine et catholique, toutes les vérités qui sont contenues dans la parole de Dieu écrite ou transmise par la tradition et que l'Église, soit par un jugement solennel, soit par son magistère ordinaire et universel, propose comme divinement révélée » (Sess. III, cap. 3). » (S. S. le Pape Léon XIII, Encyclique Satis cognitum, 29 juin 1896)
MAVRI Catherine VRIGNAUD
J'ai bien lu ce que vous m'écrivez, c'est bien beau. Toutefois, de mon côté, j'ai pu constater beaucoup de désertions chez des jeunes, à cause de ces histoires là... cela a fait beaucoup de dégâts et continue à en faire, surtout à l'adolescence, alors qu'ils s'habillaient convenablement... mais pas assez au goût des parents qui appliquaient à la lettre les consignes... ils ont mis bcp de temps …Plus
J'ai bien lu ce que vous m'écrivez, c'est bien beau. Toutefois, de mon côté, j'ai pu constater beaucoup de désertions chez des jeunes, à cause de ces histoires là... cela a fait beaucoup de dégâts et continue à en faire, surtout à l'adolescence, alors qu'ils s'habillaient convenablement... mais pas assez au goût des parents qui appliquaient à la lettre les consignes... ils ont mis bcp de temps à s'en remettre et à revenir, mais que de temps perdu pour une histoire de cms...il faut savoir composer... c'est en cela que je vous parle de la lettre et de l'esprit de la lettre. Ces jeunes ont pour certains abandonné à cause de ces Cms de tissus... je trouve ça complétement fou.. ils étaient loin de ce que nous cotoyons actuellement. Donc, je reste vigilante.
Joseph-Marie
@MAVRI Catherine VRIGNAUD !
Votre raisonnement est contraire à l’enseignement de l’Église, car il exclut l’obéissance du à son divin Magistère toujours infaillible. L’acte même de la Foi est avant tout un acte d’obéissance. C’est pourquoi la cause principale du manque de Foi chez nos jeunes ou contemporains est avant tout leur manque d’obéissance à l’Église enseignante.
« Si non credideritis …Plus
@MAVRI Catherine VRIGNAUD !

Votre raisonnement est contraire à l’enseignement de l’Église, car il exclut l’obéissance du à son divin Magistère toujours infaillible. L’acte même de la Foi est avant tout un acte d’obéissance. C’est pourquoi la cause principale du manque de Foi chez nos jeunes ou contemporains est avant tout leur manque d’obéissance à l’Église enseignante.

« Si non credideritis, non intelligetis. ― Si vous n'avez une ferme foi, vous n'aurez point l'intelligence. » (Isaïe VII, 9 ; d'après les Septante)

« Croyez afin d'avoir l'intelligence, dit saint Augustin, Crede ut intelligas. L'orgueilleux veut comprendre pour croire et Dieu le laisse dans son aveuglement. L'humble croit pour comprendre, et Dieu récompense sa soumission en déversant dans son âme les splendeurs du don d'intelligence qui viennent perfectionner sa foi, et rendre sa vie de plus en plus sainte. » (P. Manise, L'âme sanctifiée par les Dons du SAINT-ESPRIT, p. 242)

Quelle est la cause principale de la grande apostasie de nos jours ? Le manque de soumission et de l'obéissance totale à l'enseignement intégral de l'Église Romaine : Une, Sainte, Catholique et Apostolique, en tout lieux et en tout temps, comme à Notre-Seigneur JÉSUS-CHRIST Lui-même ; car c'est le même Seigneur qui nous ordonne : Qui écoute à Mon Église, Me écoute, et cela sans aucune restriction de temps ou de lieu ; et qui n'écoute pas l'Église, ordonne encore Notre-Seigneur JÉSUS-CHRIST, qu'il soit pour vous comme le païen et le publicain, c'est-à-dire, impie.

« Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ; mais ils amasseront autour d'eux des docteurs selon leurs désirs ; et éprouvant aux oreilles une vive démangeaison, ils détourneront l'ouïe de la vérité, et ils la tourneront vers des fables. » (II Tim. IV, 3-4)

Bx Holzhauser prophétise bien notre temps, qui correspond au 5e âge de l'Église :

« La reine des cités est tributaire, car l'Église est humiliée et avilie, parce qu'elle est blasphémée par les hérétiques et par les mauvais chrétiens, ses ministres sont méprisés et il n'y a plus pour eux ni honneur, ni respect...

« Ce cinquième âge est aussi figuré par la cinquième époque du monde, qui dura depuis la mort de Salomon jusqu'à la captivité de Babylone inclusivement. En effet, de même qu'à cette cinquième époque du monde Israël tomba dans l'idolâtrie par le conseil de Jéroboam, et qu'il ne resta que Juda et Benjamin dans le culte du vrai Dieu ; ainsi, dans le cinquième âge, une très grande partie de l'Église latine abandonna la vraie foi et tomba dans les hérésies, ne laissant en Europe qu'un petit nombre de bons catholiques...

« De même qu'Assur vint de Babylone avec les Chaldéens pour s'emparer de Jérusalem, détruire son temple, incendier la ville, dépouiller le sanctuaire et conduire en captivité le peuple de Dieu, etc. ; ainsi, dans ce cinquième âge, n'avons-nous pas à craindre que les Turcs (musulmans) fassent sous peu irruption, et qu'ils ourdissent des plans sinistres contre l'Église latine ; et cela à cause de la mesure comble de nos crimes et de nos abominations les plus grandes ?

«... Si nous ne faisons pas pénitence au plus tôt, en conformant notre vie à celle de JÉSUS-CHRIST, il est à craindre que cette lumière de la foi nous soit tout-à-fait enlevée. Par ces paroles, le Christ veut donc exciter Son Église par une crainte salutaire, parce que la crainte du Seigneur est le commencement de la sagesse. Et comme Dieu ne peut pas nous envoyer un plus grand fléau que celui d'aveugler Son peuple, en lui enlevant le don de la vraie foi par le moyen des faux docteurs, qu'Il suscite à la place des vrais, et cela en punition de nos abominations et de nos cœurs impénitents, voilà pourquoi, touchés par une sainte crainte et couverts du sac et de la cendre, nous devons venir nous prosterner humblement aux pieds de JÉSUS-CHRIST, et lui dire avec le Roi-Prophète, Ps., L, 13 : « Ne me rejetez pas de devant Votre Face et ne retirez pas de moi Votre Esprit. Rendez-moi la joie qui naît de Votre salut, et affermissez-moi en me donnant un esprit de force, etc. »

« A ce cinquième âge se rapporte aussi le cinquième jour de la création du monde, lorsque Dieu dit que les eaux produisissent toutes sortes de poissons et de reptiles, et qu'il créa les oiseaux du ciel. Or, ces deux sortes d'animaux figurent la plus grande liberté ; car qu'y a-t-il de plus libre que le poisson dans l'eau, et que l'oiseau dans l'air ? Ainsi trouvons-nous métaphoriquement dans ce cinquième âge la terre et l'eau pleines de reptiles et d'oiseaux. Car ils abondent, les hommes charnels qui, ayant abusé de la liberté de conscience et ne se contentant pas des concessions qui leur ont été accordées naguère dans le traité de paix, rampent et volent après les objets de leur volupté et de leur concupiscence. Chacun croit et fait ce qu'il veut. C'est à eux que se rapportent les paroles de l'apôtre saint Jude (V, 10), dans son Épître catholique, lorsqu'il dit : « Ceux-ci blasphèment tout ce qu'ils ignorent, et ils se corrompent en tout ce qu'ils connaissent naturellement, comme les bêtes irraisonnables... Le désordre règne dans leurs festins ; ils mangent sans retenue, ils ne songent qu'à se nourrir eux-mêmes, véritables nuées sans eau que le vent emporte ça et là, arbres d'automne, arbres stériles deux fois morts et déracinés, vagues furieuses de la mer répandant leur confusion comme l'écume ; astres errants, auxquels un tourbillon de tempêtes est réservé pour l'éternité... Murmurateurs inquiets, marchant selon leurs désirs, et dont la bouche profère l'orgueil ; admirateurs des personnes selon le profit qu'ils en espèrent... Hommes qui se séparent eux-mêmes, hommes sensuels n'ayant point l'esprit de Dieu ». Or, c'est ainsi que, dans ce misérable âge de l'Église, on se relâche sur les préceptes divins et humains et que la discipline est énervée ; les saints Canons sont comptés pour rien, et les lois de l'Église ne sont pas mieux observées par le clergé que les lois civiles parmi le peuple. De là nous sommes comme des reptiles sur la terre et dans la mer, et comme des oiseaux dans l'air : chacun est entraîné à croire et à faire ce qu'il veut, selon l'instinct de la chair. » (Intérpretation de l'Apocalypse, 1650)

« Si celui à qui vous désobéissez par la violation de ses commandements n'était que votre Seigneur et votre Maître, écrit le Pape saint Grégoire, et non votre Créateur, votre Rédempteur et votre Dieu, la transgression dont vous vous rendez coupable envers lui serait grave. Combien donc plus grave et plus blâmable est-elle, alors que celui à qui vous refusez d'obéir est votre Dieu, votre Créateur, votre Rédempteur, votre Conservateur... (Lib. Moral.). Ne pas obéir au Seigneur, dit Samuel à Saül, égale le péché de magie et Lui résister égale le crime d'idolâtrie (I Reg. XV, 23). La désobéissance est égal au péché de magie, car on ne désobéit à Dieu qu'en consultant les démons et qu'en recevant leurs réponses au pied de leurs autels. Résister à Dieu, c'est idolâtrie, car celui qui résiste à Dieu adore sa propre volonté et la met à la place de celle de Dieu...

« En effet, l'homme qui fait sa volonté méprise la volonté de Dieu et fait la guerre au Tout-Puissant, en s'érigeant lui-même en Dieu. Si le gourmand se fait un dieu de son ventre, l'impudique de l'objet de sa passion, l'ambitieux de l'honneur, l'avare de l'or, l'ivrogne du vin, le désobéissant, lui, se fait un dieu de son jugement et de sa volonté propre...

« Pour une nation, pour un gouvernement ou même pour un individu, le crime de la désobéissance contre l'Église Catholique Romaine a les mêmes conséquences, car désobéir à l'Église, c'est désobéir à Dieu : Qui vous écoute M'écoute et qui vous méprise Me méprise (saint Luc X, 16). Ce péché de désobéissance a sa racine dans l'orgueil, ajoute le Pape saint Grégoire le Grand, et c'est pourquoi les désobéissants consentent bien à écouter les réprimandes qu'on leur adresse, mais ils ne veulent ni avouer humblement leur faute, ni s'en corriger. » (Abbé Barbier, Trésors de Cornelius Lapide)

Le premier des anges refusa d'obéir à son Créateur et fut justement condamné aux supplices éternels ; Ève fut la première des humains à désobéir à la loi du Bon Dieu et entraîna son mari aussi dans son crime ; par un juste châtiment ils furent tous les deux chassés hors du Paradis terrestre.

« Que la femme reçoive l'instruction en silence, avec une entière soumission. Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre autorité sur l'homme ; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Ève ensuite. Et Adam n'a pas été séduit ; mais la femme, ayant été séduite, est tombé dans la transgression. Cependant, elle sera sauvée par la maternité, si elle persévère dans la foi, et la charité, et la sainteté, unies à la réserve. » (I Tim. II, 11-15).

« Adam ne tomba point dans le péché, comme la femme, parce qu'il fut trompé, surpris (I Moys. 3, 6). Adam se laissa seulement entraîné dans le péché par amour pour la femme, que Dieu lui avait donnée pour compagne. Or la femme ayant put être ainsi surprise, trompée, est incapable de recevoir la mission d'enseigner la vérité. La femme, dit saint Chrysostome, Père et docteur de l'Église, a mal enseigné une fois, et elle a précipité l'homme et le monde entier dans la perdition ; il ne faut pas, en conséquence, qu'elle enseigne d'avantage, mais elle doit se taire et apprendre de l'homme à bien parler et à bien faire. » (Bible d'Allioli, Commentaires bibliques approuvés par le Saint-Siège, 1868, vol. VIII, p. 175).

« C'est un puissant soutien que la foi, quand elle est saine et entière, cette foi à laquelle il n'y a rien à ajouter, rien à retrancher ; car la foi ne saurait subsister, si elle n'est une, selon ce que dit l'Apôtre : Il n'y a qu'un Seigneur, qu'une foi, qu'un baptême, qu'un Dieu, Père de toutes choses, qui est au-dessus de tout, qui est partout, qui est en nous tous. Attachez-vous inébranlablement à cette unité, mes chers frères, et dans cette unité pratiquez la sainteté avec tout le zèle dont vous êtes capables ; dans cette unité appliquez-vous à observer les préceptes du Seigneur, parce que sans la foi il est impossible de plaire à Dieu ; sans la foi, il n'y a rien de saint ; sans la foi, il n'y a rien de chaste ; sans la foi, on est privé de toute vie spirituelle. Car il est écrit : Le juste vit de la foi. » (Pape Saint Léon-le-Grand, Serm. 4 in solemn. Nativ. D. N. J. C.; cf. Le grand Catéchisme de Canisius, op. cit.)

« Pour nous, tenons-nous-en à la définition du Docteur des nations, et nous serons assurés de n'être pas confondus : Scio quia non confundar. Oui, je l'avoue, sa définition de la foi me plaît plus que toute autre, encore bien que mon adversaire s'applique secrètement à la renverser. La foi, dit cet Apôtre, est le fondement des choses qu'on espère, une conviction certaine des choses qu'on ne voit pas. Elle est donc un fondement, et non point une opinion, et non point une déduction de nos vaines pensées ; elle est une certitude, et non point une conjecture. » (S. Bernard, Epist. CXC ad Innoc. contr. Petr. Abailard; ibid.)

« Que feriez-vous, si vous trouviez quelqu'un qui ne croirait pas encore à l'Évangile et qui vous dirait qu'il ne croit pas ? Pour moi, je ne croirais pas à l'Évangile, si je n'y étais porté par l'autorité de l'Église Catholique. »
(S. Augustin, contr. Epist. Manich. quam vocant. Fundamenti, c. 5; ibid.)

« Qu'est-ce que la foi dans son essence ? C'est le parfait acquiescement de l'âme à la vérité des paroles divines, au point qu'aucune raison tirée soit de
l'ordre de la nature, soit des scrupules d'une piété mal entendue, ne puisse l'ébranler. Qu'est-ce qu'un vrai fidèle ? C'est celui qui acquiesce ainsi fermement aux vérités contenues dans l'Écriture, sans en rien rejeter, sans y rien innover. » (S. Basile, Moral. Reg. LXXX, c. 21; ibid.)
Hélène33
Merci Joseph-Marie, pour cet exposé détaillé!
Tout ce résume donc à l'obéissance à Dieu qui nous commande par son Église. Et nous avons un beau modèle qui est la très Sainte Vierge Marie, qui a affirmé être la servante du Seigneur ; prête à obéir à Dieu son Créateur, pour faire en tout Sa Volonté. Réparant ainsi la désobéissance de nos premiers parents, qui eux imitèrent le non serviamPlus
Merci Joseph-Marie, pour cet exposé détaillé!
Tout ce résume donc à l'obéissance à Dieu qui nous commande par son Église. Et nous avons un beau modèle qui est la très Sainte Vierge Marie, qui a affirmé être la servante du Seigneur ; prête à obéir à Dieu son Créateur, pour faire en tout Sa Volonté. Réparant ainsi la désobéissance de nos premiers parents, qui eux imitèrent le non serviam de Lucifer.
MAVRI Catherine VRIGNAUD
@Joseph-Marie inutile de m'envoyer plein d'écrits de saints et de je ne sais quoi encore. Je suis catholique traditionnaliste, je connais, et je pratique le terrain ça c'est du concret... je ne suis pas uniquement derrière mon écran à débiter les choses qui me plaisent ou pour convertir des gens par cet appareil... quoi que... le Bon Dieu est heureusement bien plus miséricordieux que vous, et …Plus
@Joseph-Marie inutile de m'envoyer plein d'écrits de saints et de je ne sais quoi encore. Je suis catholique traditionnaliste, je connais, et je pratique le terrain ça c'est du concret... je ne suis pas uniquement derrière mon écran à débiter les choses qui me plaisent ou pour convertir des gens par cet appareil... quoi que... le Bon Dieu est heureusement bien plus miséricordieux que vous, et heureusement d'ailleurs, car je pense que nous irions tous en enfer. Rappelez vous qu'Il a absout la femme adultère, qu'Il a absout les prostitués etc... etc... sans leur faire la morale à tout bout de champs comme vous aimez le faire. Chacun à sa place et les moutons seront bien gardés. Je ne vous en veux pas, loin de là, mais il faut savoir parfois sortir des ornières, se piquer aux charbons, aux orties pour aller rechercher la brebis perdue, on doit prendre tous les moyens, et ce n'est pas en tapant dessus qu'on y arrivera. Il faut avant tout être charitable, et ne pas se croire supérieur à quiconque.